e-Caducée - module de démonstration

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Cytomégalovirus

Herpes Simplex Virus 1 et 2

Entérovirus

Rotavirus

Entérovirus

Poliovirus

Parechovirus

Adénovirus

Hépacivirus

Infection par le VIH

Infection par le virus de l'hépatite B (VHB)

Infection par le virus de la Rubéole

Infection par les entérovirus

Infection par le métapneumovirus

Il est caractérisé par une hyperglycémie chronique.

Il résulte d'anomalies d'action de l'insuline sur les tissus-cibles.

Il résulte de la destruction spécifique des cellules β des îlots pancréatiques par un processus auto-immun.

La phase hyperglycémique du diabète de type 1 survient lorsque ne subsiste qu'un faible pourcentage de cellules β fonctionnelles.

Le diabète de type 1 est une maladie hétérogène dont l'hérédité est polygénique.

Polyurie

Asthénie

Polydipsie

Prise de poids inexpliquée

Amaigrissement malgré une polyphagie

présence de signes cliniques du diabète et glycémie supérieure ou égale à 2 g/L.

glycémie à jeun supérieure ou égale à 1,26 g/L. Valeur à confirmer par une 2ème mesure un autre jour.

présence de signes cliniques du diabète et glycémie supérieure ou égale à 1,26 g/L.

glycémie 2 heures après 75g de glucose per os supérieure ou égale à 2 g/L.

L'hémoglobine glycosylée (HbA1c) est corrélée à la moyenne des glycémies des 3 mois précédant le prélèvement.

L'hémoglobine glycosylée (HbA1c) est corrélée à la moyenne des glycémies du dernier mois précédant le prélèvement.

Un sujet non diabétique a une HbA1c comprise entre 4 et 6 %.

La mesure de l'HbA1c est inutile pour diagnostiquer le diabète, mais indispensable pour contrôler l'efficacité du traitement.

L'acidocétose résulte de la carence absolue en insuline du diabètique de type 1.

Une glycémie plasmatique supérieure à 2,5 g/l, une cétonémie et une cétonurie sont habituellement retrouvées en cas d'acidocétose.

L'acidocétose se traduit par un coma dans la majorité des cas.

Les signes cliniques sont essentiellement respiratoire (dyspnée, tachypnée, haleine caractéristique) et digestifs (nausées, vomissements et douleurs abdominales) ainsi que les signes du syndrome cardinal.

pH inférieur à 7,30

bicarbonates inférieurs à 15 mmol/l

glycémie plasmatique supérieure à 2,5 g/l

cétonémie

cétonurie

Le but du traitement est de prévenir les complications à long terme.

Chez l'enfant, en général, l'objectif est de maintenir l'HbA1c à moins de 7,5 % en prenant en compte le risque hypoglycémique.

Le dépistage annuel de la rétinopathie diabétique n'est pas indispensable avant l'âge de 10 ans.

Le vaccin contre la grippe est recommandé chez les enfants diabétiques.

La mise en route d'un traitement par insuline se fait souvent de façon empirique en commençant par des doses modestes.

Les pompes à insuline sous-cutanée ne sont pas utilisables chez l'enfant.

Chez les enfants motivés, l'insulinothérapie à la pompe permet d'améliorer le contrôle glycémique tout en diminuant le risque d'hypoglycémies sévères.

Le schéma basal-bolus est le schéma recommandé chez l'enfant assez mûr pour gérer ses injections.

Les doses d'insuline sont plus élevées pendant la puberté.

L'apport énergétique de l'enfant diabétique doit être comparable à celui d'un enfant non diabétique.

La répartition journalière des apports en glucides ne tient pas compte du schéma d'insulinothérapie.

Les fibres n'ont aucun impact sur la glycémie.

Le schéma à deux injections est plus contraignant pour l'enfant que le schéma à trois injections.

Lantus et Apidra sont des insulines humaines ayant une formulation différente à l'origine de leur profil différent.

La structure chimique des analogues rapides permet de limiter l'hexamérisation de la molécule et ainsi accélérer l'absorption.

La structure chimique de l'insuline glargine permet de favoriser l'hexamérisation de la molécule et ainsi ralentir l'absorption.

Les analogues de l'insuline sont associés à un risque de cancer plus important que l'insuline humaine.

Les analogues lispro, asparte et glulisine possèdent un délai et une durée d'action similaire à l'insuline humaine rapide.

Les analogues lispro, asparte et glulisine possèdent un délai et une durée d'action similaire.

Les spécialités Novomix et Humalog Mix sont des mélanges analogues rapides/analogues rapides-protamine.

Les analogues lispro, asparte et glulisine nécessitent un délai de 30 à 60 minutes avant la mise en action.

Les analogues rapides permettent d'obtenir un meilleur contrôle de l'hyperglycémie prandiale que l'insuline humaine.

Les analogues lents présentent un délai et une durée d'action similaire.

Dans le diabète de type 1, l'intérêt de glargine vs. insuline NPH porte essentiellement sur la réduction de l'HbA1c.

Dans le diabète de type 1, l'intérêt de glargine vs. insuline NPH porte essentiellement sur la réduction de la fréquence des hypoglycémies.

L'analogue glargine est associé à un sur-risque de cancer.

Tous les stylos jetables possèdent la même dose maximale d'injection.

Il existe des stylos réutilisables pédiatriques dotés d'une traçabilité de la dernière dose injectée.

Le palier de réglage des stylos à insuline est de 1UI.

Le stylo Innolet présente une ergonomie de réglage de la dose adaptée aux personnes âgées.

L'utilisation d'une aiguille trop courte peut être à l'origine d'une prolongation du délai d'action de l'insuline.

L'utilisation d'une aiguille trop longue peut être à l'origine d'un raccourcissement du délai et de la durée d'action

Il est possible de procéder à l'injection au travers du pantalon.

La séquence de préparation du stylo à l'injection est la suivante : remise en suspension, le cas échéant, puis fixation de l'aiguille, puis réglage de la dose, puis injection.

Un massage léger est recommandé juste après l'injection.

Les tailles d'aiguille habituellement utilisées chez l'enfant et l'adolescent sont comprises entre 4 et 6 mm.

Les pompes portables contiennent un réservoir d'insuline rapide et un réservoir d'insuline lente.

L'administration s'effectue à l'aide d'un prolongateur et d'une canule sous-cutanée.

La prise en charge de la pompe externe s'effectue selon un forfait mensuel comprenant entre autres la fourniture de la pompe et des accessoires, l'organisation d'une astreinte, la maintenance et la réparation du matériel, la formation du patient.

La prise en charge est assurée pour le diabète de type 1 ou de type 2 ne pouvant être équilibré par une insulinothérapie par multi-injections sous-cutanées d'insuline.

L'administration de l'insuline par pompe dispense de l'autosurveillance glycémique.

Toutes les pompes disponibles sur le marché disposent d'une option mesure de glucose en continu permettant d'optimiser son équilibre métabolique.

Le patient peut retirer sa pompe lors d'un bain ou d'une baignade.

La pompe permet d'administrer de l'insuline lente tout au long de la journée puis de l'insuline rapide pendant les repas.

La pompe permet d'administrer un débit basal d'insuline, couplé à des bolus, effectués pendant les repas, administrés selon un schéma programmé avec le diabétologue.

Les cathéters pour pompe peuvent-être laissés en place au maximum 2-3 jours

Avant le prélèvement sanguin, il est utile de se laver les mains à l'eau chaude et de se frictionner le bout des doigts.

Avant le prélèvement sanguin, il est utile de se frictionner les doigts avec un antiseptique.

La piqûre du doigt se fait de préférence sur les bords externes.

Il est possible d'avoir recours à des sites alternatifs de piqûre.

Il est possible de régler la profondeur de prélèvement.

Les bandelettes sont à usage unique.

La conservation des bandelette est limitée à trois mois après ouverture du flacon.

Certains lecteurs intègrent une mesure de la cétonémie.

La technologie sans codage "no coding" permet d'éviter l'étape de calibration.

Des solutions de contrôle peuvent être utilisées pour vérifier le bon fonctionnement du lecteur.

Les bandelettes permettent de dépister et de quantifier le taux de glucose et de corps cétoniques dans les urines.

Les bandelettes sont indiquées chez les diabétiques de type 1 insulinotraités porteurs de pompe à insuline, les femmes enceintes et les enfants.

Les bandelettes doivent être trempées dans un verre d'urine.

Les bandelettes permettent de recherche les corps cétoniques urinaires en cas d'hypoglycémie.

La prise en charge du lecteur par l'Assurance Maladie est valable pour une attribution tous les 4 ans chez l'adulte.

La prise en charge du lecteur par l'Assurance Maladie est valable pour deux attributions tous les 4 ans chez l'enfant de moins de 18 ans.

La prise en charge par l'Assurance Maladie es dispositifs associés au lecteur est valable chez le patient diabétique de type 1 pour au moins 4 autosurveillance glycémique par jour.

Chez les patients porteurs de pompe à insuline, en moyenne une surveillance par jour de la cétonémie est nécessaire.

L'insulinothérapie est associée à une prise de poids.

L'insulinothérapie est associée à un risque d'acidocétose.

L'hypoglycémie est facilement détectable chez l'enfant.

Des lipodystrophies peuvent survenir en cas de non-alternance des sites d'injection.

On parle d'hypoglycémie mineure lorsqu'elle est perçue par le sujet lui-même, qui absorbe des glucides pour la corriger.

Le patient doit toujours avoir sur lui un carré de sucre.

La correction de l'hypoglycémie fait appel au glucagon en première intention.

Le glucagon s'administre comme l'insuline en sous-cutané.

Avant de faire du sport, le patient diabétique doit se mettre en hyperglycémie.

Le risque d'hypoglycémie subsiste dans les heures suivant la pratique sportive.