Les principaux résultats récents obtenus pour les pathologies respiratoires, cardiovasculaires et allergiques (étude APHEKOM, 2012).
La pollution atmosphérique aggrave les pathologies respiratoires, allergiques (telles que l'asthme, la Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive - BPCO) et cardiovasculaires (telles que l'infarctus du myocarde) ( Pénard-Morand & Annesi-Maesano, 2008[1]).
Le programme APHEKOM a proposé une évaluation de la part de la pollution atmosphérique sur différentes pathologies en fonction de 2 scénarios (exacerbation ou origine et exacerbation).

De la même manière, cette étude a estimé le pourcentage de la population avec des pathologies chroniques pouvant être attribuées au fait de vivre à proximité de routes et de rues très fréquentées dans 10 villes du programme APHEKOM.
Résider à proximité de routes fréquentées serait responsable de l'apparition d'environ 15 % de cas d'asthme chez l'enfant, et 15 % au moins des pathologies respiratoires et cardiovasculaires, chez les adultes de 65 ans et plus.
